Carrie White, jeune adolescente de banlieue rejetée par ses camarades de classe, subit un choc traumatique le premier jour de ses règles. Quand ses pouvoirs télékinésiques se révèlent, elle subit les sévices de sa mère religieuse qui voit en elle l’enfant du diable. Premier vrai succès de De Palma, première adaptation très personnelle de Stephen King, “Carrie” ressort en salles, quarante ans après son succès en 1976. Alors pourquoi revoir Carrie en 2017 ? Pour la scène finale d’anthologie et la vengeance de Carrie pendant le bal de promo - modèle de mise en scène -, pour la patte De Palma et ses split-screen et pour l’esprit transgressif d’un passage à l’âge adulte dans une amérique bigote. Podcast animé par Daniel Andreyev avec Stéphane Moïssakis et David HonnoratRÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONCarrie au bal du diable (Brian de Palma, 1976), Carrie (Stephen King, 1974), Carrie la vengeance (Kimberly Peirce, 2013), Soeurs de sang (Brian de Palma, 1973), Obsession (Brian de Palma, 1976), Pino Donaggio, Furie (Brian de Palma, 1978). CRÉDITSEnregistré le 26 octobre 2017 au Bar à Bulles (4bis Cité Véron, Paris 11ème). Production : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Moyens techniques : Binge Audio. Réalisation : Jules Krot. Générique : "Soupir Articulé", Abstrackt Keal Agram (Tanguy Destable et Lionel Pierres). NoCiné est une production du réseau Binge Audio www.binge.audio.
 


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